
J’ai compris au bout de 334 pages que Le bûcher des vanités est un de ces ouvrages qu’il faut avoir lus pour mettre à l’épreuve sa volonté à résister à un livre agréable mais qui ne réalise en soi-même qu’un divertissement.
J’avais déjà remarqué qu’en général les Américains disposent avec plus d’entraînement que les autres de ce que j’appellerais la technique de la fluidité : même leurs pavés sont aisément comestibles car peu roboratifs, nutritivement délayés, nourriture sans richesse ni densité ; ainsi...
[Lire la suite]