
On peut trouver au moins contradictoire qu’un livre, rédigé par un écrivain d’expérience, qui fait valoir l’effort individuel au rang des vertus cardinales de l’humanité contre le confort même et pour redresser la France, témoigne par son écriture d’une telle négligence littéraire et d’un goût si manifeste pour la superficie et le divertissement.
Ce récit est l’équivalent d’une nouvelle grossière qu’un énième abus éditorial fait tenir en 272 pages en arrangeant chacune pour ne contenir que 26 lignes maximum d’en moyenne huit mots –...
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