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Henry War
9 novembre 2019

Le problème Wattpad

Récemment, j’ai voulu me débarrasser sur Wattpad de tous ces clampins-crampons qui s’abonnent spontanément à vous sans vous lire et qui espèrent sans doute que rejaillira sur eux quelque contrepartie à leur adhésion sous forme de lecture rendue ou d’abonnement réciproque. Les gens adorent montrer comme ils sont populaires en arborant le nombre de leurs suiveurs : ils font mine de ne pas s’apercevoir que tout ça est du chiqué, que personne ne s’intéresse vraiment à leurs histoires, qu’on fait juste un tour « chez eux » pour voir ce qui plaît tant aux autres, que c’est le même simulacre mondain depuis toujours et qu’on aspire seulement à paraître dans « certains cercles » pour sembler socialisé et savoir de quoi il s’agit. N’importe, il y a ces chiffres pour prouver le contraire et tout à coup ça leur suffit. Je ne connais personne, ici, sur Facebook ou sur un blog, qui ne regarde pas avec beaucoup d’intérêt le nombre de connexions qu’il réalise, par jour, par semaine ou par mois : chacun veut croire de nos jours que sa qualité se rapporte intrinsèquement à sa quantité, et qu’on a bien de la vertu rien qu’à être vu ou entendu. Ce vice de la grégarité touche presque tout le monde sur Internet comme sur Wattpad qui doit sa notoriété à la promesse de pouvoir faire de vous le prochain « best-seller numérique » – c’est notre époque superficielle qui s’exprime : le contemporain veut être quelqu’un par l’attirance qu’il espère inspirer à des foules ; c’est une façon d’oublier qu’il n’est rien, comme ces gamins japonais obèses qui se fabriquent des identités admirables dans des jeux vidéo. Il ignore que plus on est aimés, plus on est tout le monde, c’est-à-dire personne. Rien de mieux que des funérailles nationales pour démontrer que vous avez manqué votre vie.

Notez tout de même que je ne me fais pas pour autant un principe vital d’être conspué !

Mais enfin, tous ces jeux de réseaux et de trafic d’influence m’insupportent assez. C’est tout à fait « à côté » de ce pour quoi j’écris, je veux parler de la littérature.

Le défaut supplémentaire que j’y trouve, c’est que la littérature, ou plus généralement le contenu quelle que soit sa forme, se perd toujours sous cette abondance d’intentions soigneusement mesurées et dénombrées sans tri. Bientôt, on ne vous commente plus, on vous « like », vous avez un « vote », dix vues ou bien mille ne signifient rien, toute communication sur le fond ayant disparu – vous êtes un objet relayé, une sorte de mode plus ou moins cotée. Vos « followers » ne vous ont peut-être pas aimé du tout, et beaucoup ont voté pour manifester seulement qu’ils sont « passés », pour laisser une trace : même ces signes au fond n’ont pas de signifié, à peu près comme les émojis qu’on vous laisse seuls et qui ne sont rien de mieux que l’état primitif d’un pathos. En fait, il n’est pas sûr qu’on ait par exemple ouvert le lien tant de fois partagé, vu la vidéo ou consulté l’article connexe, pas sûr du tout – je crois même qu’il n’est pas ouvert, ou regardé en entier, environ la moitié du temps, et probablement plus.

Alors, dialoguer un peu, dans la mesure où vous proposez votre matière c’est-à-dire un extrait véritablement personnel de vous-même (ce qui est tout de même assez rare sur Internet, il faut le reconnaître), c’est ce que vous voudriez. Ça n’implique pas que vous souhaitiez des avis conformes au vôtre, que vous exigiez des approbations (même, votre dégoût généralisé pour l’homme moderne préfèrerait souvent l’inverse : des défaveurs), mais vous aimeriez une preuve qu’il y a bien quelqu’un de l’autre côté de l’ordinateur. Vous êtes content quand on vous objecte, davantage que quand on vous lit mutiquement : cela humanise votre public et vos correspondants, cela leur donne de la substance, même si cette substance peut s’avérer piètre et inconsistante : peu importe, c’est déjà le début de quelque chose, je veux dire : de quelqu’un, et il faut peut-être parfois commencer par un peu de sombre bêtise pour atteindre par degrés à un peu de lumière ! En tous cas, le silence, le vide, le néant, ne renvoie pas même à une idée d’homme : moi, je ne sais pas travailler avec ce matériau, et je n’en ai pas envie, personne de sensé et d’un peu ambitieux pour autrui ne devrait en avoir envie.

Et vous n’avez pas le contentement d’admettre que quelqu’un, ce peut être une personne qui n’exprime rien. Ce quelqu’un-là vous indiffère, vous inspire le mépris des lâches et des sots, et comment en serait-il autrement puisqu’il n’a, de fait, aucun rapport avec vous (ou bien vous aimez tout le monde, et ce n’est guère valorisant pour vos proches que vous n’élisez pas ?!) ? Ce quelqu’un-là n’est personne, incapable autant qu’insoucieux de démontrer qu’il est (et à plus forte raison : qui il est) : si vous éprouvez comme moi quelque volonté d’améliorer l’homme (d’aucuns estiment cette volonté « généreuse », c’est peut-être faux mais on pourrait, à défaut d’en être sûr, vous octroyer le bénéfice du doute – tous les autres y ont bien droit, eux !), vous ne pouvez pas vous satisfaire du vide humain. Il vous faut réveiller cela, électriser, galvaniser, faire ressortir le noyau vif de cette gangue inerte. Vous parlez à des statues, et ça vous devient insupportable, à la longue.

Et puis, sur Internet, vous ignorez toujours si les personnes qui ne disent rien sont encore là, si elles utilisent toujours le site ou s’il n’en reste que le pseudonyme. Cela arrive souvent : bizarrement, on ne ferme jamais un compte quand on quitte un réseau, on le conserve au cas où, pour plus tard, refusant à sacrifier une inscription et son contenu. Mais c’est peut-être vide, concrètement vide, en fait.

Alors un jour, vous écrivez, par exemple sur Wattpad : « Tous mes abonnés passifs qui ne réagissent pas une fois toutes les deux ou trois semaines, je les bloque. » Vous voudriez que cela réveille les timides qui croient n’avoir rien à communiquer et qui sommeillent comme des ombres, engagés à rien, inertes et sans volonté. Vous admettez même qu’un simple « coucou » de temps en temps suffira à leur « rendre vie », à leur donner l’habitude et le goût de la réalité contenus dans tout ce que vous leur écrivez.

Certainement, ça en contrariera aussi. C’est sûr, vous devez vous y attendre : la plupart des gens n’aiment pas qu’on les incite à quoi que ce soit. Mais ceux qui jugeraient ce procédé un chantage, de toute façon, ne vous auraient pas fondamentalement compris (peu probable surtout qu’ils auraient osé faire comme vous et se passer de cette notoriété affichée) : c’est que vous prônez depuis toujours une philosophie de l’action ; or, c’est l’action qui justement les importune. Ils préfèrent dormir, « rester tranquilles », comme ils disent. Moi, je ne vois pas ce que j’aurais à faire, en tant qu’auteur, avec un lecteur qui tient surtout à sa routine et à son immobilité.

Vous publiez donc ça.

Et vous rencontrez chez vos prétendus « fidèles » – c’est vraiment stupéfiant ! – non pas le sentiment de regret de ces inconnus à ne s’être jamais manifestés en dépit du don de votre travail, ni la résolution de s’y mettre enfin et de rendre un élémentaire effort à vous lire et à vous répondre, ni, et je le concevrais aussi très bien, l’aveu de s’être abonné pour rien en n’ayant tout compte fait pas de temps à consacrer à votre littérature, mais, étonnamment la crainte insidieuse et terrible d’être bloqué sur un réseau social.

Bloqué. Chassé. Ostracisé. En un lieu connu, en plus. Les gens, apparemment, redoutent cela plus que tout. Vous n’avez pas le droit ! C’est dégoûtant ! C’est le stade ultime de l’injure, ou quelque chose d’approchant.

C’est au point qu’un certain nombre de ces abonnés (mais jamais aucun « actif », il faut le reconnaître) ont préféré tout bonnement se désinscrire plutôt que de risquer, un jour, d’être bloqués par moi. Au prétexte qu’il leur était insupportable d’être ainsi « menacés », de risquer leur « mort sociale » on suppose, de vivre sous ce joug insupportable puisqu’une moindre salutation toutes les trois semaines leur paraissait une obligation scandaleuse, ils sont partis d’eux-mêmes, invoquant des arguments d’enfants : que vous ne devriez pas inciter de cette manière les gens à (vous) lire, que vous les méprisez, qu’ils ne peuvent tout de même pas être aussi ponctuels, qu’ils ont bien d’autres choses à faire dans leur vie, que ce genre de déclaration est peut-être interdit sur ce réseau social… Aucun n’ose vous dire la grande réalité recelée derrière tout ce verbiage indigne et creux : ils ne veulent pas participer à ce qu’ils lisent ; ils refusent d’être contraints à une assiduité même mensuelle ; ils n’admettent pas de se diriger.

Nous vivons la grande époque absurde de l’indiscipline où personne ne se conduit plus. Avant même d’estimer si une participation réclamera beaucoup d’effort, l’idée d’être tenu à tel effort de participation paralyse d’emblée, décourage et fait renoncer : « Un contrat ? Alors je quitte la partie. ». Vous n’avez pas le droit d’exiger des gens d’être : polis, assidus, cohérents, soigneux – ils appellent ça, avec exaspération : « avoir à se justifier ». Si vous demandez à votre adolescent s’il accepte de venir au repas de famille mais à condition qu’il n’use pas de son portable à table, il vous répond tout pareil : non. Pas d’exigence. Aucune.

L’effort ? la discipline ? une certaine attention élémentaire et humaine ? Il y a l’école et les études pour ça !

Certes, on ignore pourquoi ces gens se sont inscrits alors ; ils l’ignorent probablement eux-mêmes. Ils vous ont trouvé sympathique d’abord, et puis ils ont poussé spasmodiquement le doigt sur la souris, par habitude, par routine, par automatisme : un « ami » de plus, pensant y revenir. Il y a peut-être aussi là-dedans, au fond, le plaisir de la collection : « J’ai trouvé ça de plus. Je le marque comme “chose vue”. Ça me donne une sorte d’expérience visible et qu’on peut compter. ». N’importe pour eux s’ils vous ont oublié l’heure suivante. Ils ont sacrément le sentiment d’avoir été actifs – certes, ça a duré moins d’une minute !

C’est exactement ce que je ne veux plus comme lecteurs. Ces gens vivent dans un monde virtuel où tout rapport avec le réel est une terreur d’obligations et de solennité. Eux, ce qu’ils veulent, c’est Peter Pan, l’univers joyeux des rêves et des irresponsables. Ils lisent pour s’évader uniquement. Jamais ils n’intègrent ce qu’ils lisent. Jamais même, et c’est un de leurs signes le plus caractéristique, ils n’interrogent la vraisemblance d’une intrigue. Jamais. Cela fuit en eux, toujours. C’est si agréable quand tout fuit continûment ainsi, n’est-ce pas ? Se laisser aller. S’abandonner sans le moindre effort. Ne pas s’interroger. Ne pas penser.

Ils vous vampirisent, ces fantômes de volonté ! Ils instaurent un malentendu. Ils ne sont pas des lecteurs : ils consomment passivement !

Ils vous consomment. Pas pur délassement. Parce qu’ils n’ont rien de mieux à faire, par exemple. Mais il n’y a pas de communication entre vous. Pas la moindre. Ils vous dénient tout droit d’avoir accès à eux. D’emblée. Votre présence dans leur intériorité est interdite, on ne passe pas, jamais. Eh quoi ? puisqu’ils ne vous voient même pas, et comme ils n’ont pas du tout envie de vous baiser : pourquoi prétendre à vous immiscer !

C’est à quoi se réduit leur vision assez minable des rapports humains à distance.

Ce n’est peut-être pas leur faute, après tout. Mais vous ne parlez pas de la même chose quand vous parlez de lire – vous n’êtes foncièrement pas d’accord sur « un livre ». Vous, vous parlez d’un art qui demande un respect a priori ainsi qu’une imprégnation – opposition ou adhésion, quelque chose de vif et de vivant. Pour eux, c’est du divertissement, ça vaut un match à la télé, à très peu près, avec, peut-être, l’alibi culturel en plus. Ils veulent, comme j’ai dit, qu’un livre les « laisse tranquilles ».

Pas moi.

Pourtant, on ne peut pas dire que ce soit de ma faute, que j’ai contribué au malentendu de quelque manière : je me suis toujours assidument efforcé de lever cette ambivalence, on ne peut rien me reprocher là-dessus. Mon style intempestif et désuet, mes sujets graves et sérieux, le soin méticuleux et sensible, je suppose, que j’appose au moindre mot : rien de tout cela n’est du divertissement, c’est évident, c’est très clair. J’ai toujours mis à mon travail une saveur d’art, une « sueur » qui ne peut échapper à personne. Seulement, les gens ont oublié que derrière les mots, il y a quelqu’un, et que ce quelqu’un pourrait bien ne pas se satisfaire du vide qu’on leur rend après tant de travail, surtout de travail gratuit. Les gens doivent se dire : « Tiens, je lui clique une fois là, c’est bien fait, ça lui fera plaisir. Ça le “récompensera”. ».

Mais il y a des gens comme moi qui se foutent du clic.

Alors indignez-vous si vous voulez parce que je vous réclame des preuves d’humanité, des symptômes d’existence (j’ai reçu mes premiers avertissements administratifs sur Wattpad, c’est vraiment charmant, les gens qui ne sont pas d’accord, au lieu de s’expliquer comme vous leur demandez, vous « signalent administrativement ») : c’est que vous ne comprenez rien à la façon dont ces adresses, justement, tendent à vous honorer et à vous élever à la dignité d’une personne plutôt que de consommateur anonyme.

Mais songez enfin, si vous êtes encore capable de ce qu’on appelle « Empathie » (et vous le prétendez, n’est-ce pas ?), que quant à moi, le dernier gong que j’entendrais de votre cloche sera pour me dire combien vous me haïssez, combien vous me trouvez injuste et cruel de vouloir vous dignifier même par le Sursaut : croyez-le bien, j’aurais mieux aimé autre chose… Enfin, c’est toujours un gong humain… et le meilleur que j’ai jamais entendu, venant de vous, c’est-à-dire en général le tout premier et le tout entier, puisque vous partez aussitôt après vos initiaux vagissements !

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Commentaires
G
Quelques mots donc, promis et souhaités. Je ne sais ce qu'est Wattpad et je n'ai pas fait de recherches avant d'écrire. Je n'en parlerai donc pas. Je vais m'attarder sur le cas Henry War. Oui, je suis d'accord avec tes propos sur le lecteur invisible et muet. J'en suis un. Je me suis donc bien reconnu. Consommer du Henry War, c'est quoi pour moi jusqu'ici. Voir un article sur Facebook, être attiré par la pertinence du titre et du premier commencement de phrase visible. Cliquer, atteindre le récit. Commencer à lire, y trouver de l'intérêt, de la difficulté de compréhension, persévérer un peu, puis m'arrêter définitivement quand je prends conscience que je n'en suis pas encore à la moitié. Scroller jusqu'au bout du texte, regarder si il y a un commentaire, surtout si il y a une de ces répliques (qui peuvent d'ailleurs effrayer le commentateur). <br /> <br /> <br /> <br /> Ce comportement, je comprends que Henry le critique et l'accuse. Et j'avoue ma faute. Ce que je lis n'est pas un article comme les autres, l'expression d'un moment fugace de journaleux sans possibilité de réponse. Non. Et je le sais. Quelque part, je ne suis pas digne de. Il a raison. Mais j'y retourne car ce damné Facebook me rappelle à son existence et à l'actualité pertinente des sujets, à leur réflexion hors du commun (Henry mettrait ça en italique à coup sûr). Non seulement il nous offre sa réflexion, nous permet de sortir de notre quotidien de sottises, mais voilà encore qu'il veut, puis exige, qu'on lui réponde. <br /> <br /> <br /> <br /> Il est fou ce type. Oui, et il a raison. <br /> <br /> <br /> <br /> A l'effort consenti il me paraît légitime de demander un effort retour : lire en intégralité et répondre, voir répondre à la réponse, ou au commentaire de la réponse de la réponse. Et donc prendre du temps. Que finalement, j'ai décidé d'avoir en cliquant et que je ne 'accorde pas pour aller au bout du bout. Promis donc, si je sais que je n'ai pas le temps, je ne cliquerai pas. Pas de chiffre faussé, pas de trahison. Un peu de respect donc. Le moins qu'on puisse faire. Vraiment.<br /> <br /> <br /> <br /> J'invite las autres à en faire autant.<br /> <br /> <br /> <br /> Bien à vous tous, lecteurs de commentaires d'Henry War.
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I
Attention ! Les problèmes d'obésité au Japon sont très rares. Parlons plutôt pour les jeunes reclus de fantômes mous et rachitiques, conspués par une société qui considère le travail et les normes sociales comme primordiales.<br /> <br /> <br /> <br /> Pour le reste, vous résumez une partie des raisons qui m'ont fait quitter Wattpad. A vrai dire, la plateforme m'a fait beaucoup de bien... quand je l'ai quittée. En fait, ce départ fut aussi bénéfique qu'il eut été néfaste de m'accrocher au site. A fréquenter des cons, j'en étais devenu un moi-même.<br /> <br /> <br /> <br /> A présent, j'en ris, et je me moque froidement de certains qui, pour reprendre la formule chiraquienne : "font encore dans leur couche et pensent chaque matin qu'ils ont chié le monde".<br /> <br /> <br /> <br /> Il n'est pas sur internet d'amis autres que ceux que je connaissais déjà avant, dans la vraie vie... Pardon, dans la vie tout court. Je ne vois que des pseudos, des images de profil et, sur Wattpad, un personnage type caricatural auquel il faut absolument se conformer : anarchiste lgbt, jeune glousseuse, musulman borné, chrétien candide... Un ridicule panorama de ce qui pourrit notre monde, tout cela en étant extrême dans sa caricature mais en se prétendant modéré et ouvert. Et bien sûr, je nie toute appartenance à un des groupes susnommés (du moins à l'heure actuelle, puisqu'on fait tous des bêtises de jeunesse).<br /> <br /> <br /> <br /> Enfin, je dois bien dire que depuis mon départ, je produis moins, mais d'une qualité égale, et je me rends compte que c'est médiocre. Ca fait du bien de ne plus subir les éloges d'une foule de détestables littérateurs, si habituée à la merde qu'elle crie au génie dès qu'il n'y a pas des fautes de français.<br /> <br /> <br /> <br /> Entre revenir sur Wattpad pour me retrouvé ecrasé sous des histoires aussi bien écrites que "Histoirs d'une BEurete" (j'invente ce titre, mais je suis persuadé qu'une montagne d'histoires sur Wattpad ont un nom similaire), et tranquillement lire un Druon (ou un Tulard, en ce moment), le choix est rapide, clair, et sans appel ni pourvoi.
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G
Henry, j'ai peu de facilité à écrire correctement ce qu'il y aurait à répondre à ton texte car je le fais de mon portable. Mais je l'exprime avec sincérité et conviction. Je suis parfaitement d'accord avec tes propos et je ferai en sorte d'en dire plus tantôt. Pour l'heure, je signale que je suis, clique, lis et ressens. Merci de la pique salvatrice. Greg
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